Mardi 21 mai 2024
La journée ne commence pas très bien : le train pour Nîmes est annulé moins de deux heures avant le départ. Ma femme doit donc m’emmener en voiture jusqu’à Nîmes. Vers 8h45 nous démarrons, il y a beaucoup de monde sur la route mais nous arrivons un peu en avance et je prends mon train qui lui est à l’heure. Ma place est déjà occupée et je dois déloger une dame qui se l’était appropriée pour utiliser une prise de courant. J’ai aussi un téléphone à recharger et je lui demande de bien vouloir regagner sa place. Arrivé à Toulouse, je me dirige directement vers la basilique Saint Sernin que je ne connais pas. Un petit passage par l’office du tourisme où je me procure un plan de la ville et fait tamponner la crédenciale. Il n’y a que très peu de distance pour arriver à cet édifice, j’en fait le tour puis rentre à l’intérieur. Au kiosque, j’achète un souvenir et la vendeuse m’indique que le bureau des pèlerins situé dans une petite chapelle à l’intérieur n’ouvrira que dans une heure. Je repars vers la place du capitole pour faire une photo souvenir puis regagne la basilique. Le bureau des pèlerins est ouvert, la bénévole m’aide à trouver le moyen le plus commode pour aller jusqu’à Portet sur Garonne ou j’ai réservé pour le soir. Je pensais y aller à pied mais je n’aurai pas le temps. Aussi, je prends le métro puis le bus. En allant vers la station la plus proche, je fais connaissance de plusieurs personnes qui me demandent des renseignements sur le chemin de Compostelle afin de le parcourir. L’accueil au bureau du métro est chaleureux et l’employé me donne toutes les informations pour me rendre à Portet. Au bout de 30 minutes de route, l’arrêt se trouve juste devant le logement. Cet hôtel est impeccable, propre et en plus, il y a une boulangerie juste à côté ce qui me permettra de manger ce soir.
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